Tue Gutes und sprich darüber ! / Faites le bien et parlez-en !

sunnudagur, 1. mars 2009

DG Doris Portmann

Liebe Rotarierinnen, liebe Rotarier

Sie alle verwenden jährlich viel Arbeit und Geld, um im Namen von Rotary Unterstützungsprojekte im In- und Ausland voranzutreiben. Wir Rotarierinnen und Rotarier kennen diese Leistungen; vielfach lesen wir auch darüber in den Informationen der Clubs und monatlich im schweizerischen Rotary-Magazin.
Doch nimmt eine weitere Öffentlichkeit uns Rotarierinnen und Rotarier so positiv wahr, wie wir es tatsächlich verdienen? Da treten bei mir Zweifel auf, wenn ich drei kürzliche Zeitungsmeldungen betrachte. Beispiel 1: Im Stade de Suisse in Bern hat sich ein Gönnerclub gebildet, dessen Jahresbeitrag 25'000.– Franken pro Mitglied beträgt. Sportjournalist und interviewter erster Präsident des Clubs waren sich einig, dies sei ein Rotary-Club des Sportes. Beispiel 2: Ein Schweizer Wirtschaftsführer erklärte ebenfalls in einem Zeitungsinterview, sein Netzwerk bestehe aus Jassrunde, Kegelclub und Rotary-Club. Und in einem weiteren Artikel wird der „Filz“ des RC Zürich genüsslich beschrieben. Ich meine, hier werden doch eher verzerrte Bilder unserer Organisation in die Öffentlichkeit getragen.
Dabei hätten wir so viel zu berichten über unsere Projekte im Alltag, über die diversen Austauschprogramme und über unsere internationalen Hilfstätigkeiten. Ein leuchtendes Beispiel von Kombination grossen Engagements mit entsprechender Information der Öffentlichkeit war der Kinderlähmungstag vom 13. September 2008. Hier wurde nicht nur schweizweit engagiert gesammelt, sondern auch schweizweit über uns in den Medien berichtet. Ein solches Vorbild lässt sich auf kantonaler, aber auch auf regionaler und somit auf Clubebene gut kopieren.
Viele Medien schätzen nämlich lokale Informationen und nehmen diese auch auf. Etliche Rotarier haben gute Beziehungen zu den lokalen Redaktoren und können so diese mit Informationen über unsere Tätigkeit versorgen. Nicht jede Mitteilung wird publiziert werden; dies ist auch in Politik und Wirtschaft der Fall. Doch ohne Information findet garantiert keine Publikation statt.
Es kann sich auch lohnen, eine Kommunikationsfachperson aus dem eigenen Club oder aus der Rotary-Familie beizuziehen. Lesen Sie aber auch nochmals den Beitrag von Rotarier Oliver Schaffner, Chefredaktor unseres Magazins, den er in der Septemberausgabe 2008 veröffentlicht hat (auch unter www.rotary.ch). Empfehlenswerte Tipps und Hinweise zur Wichtigkeit der Öffentlichkeitsarbeit veranschaulichen, was die Clubs in diesem Bereich unternehmen könnten.
Unser rotarisches Gedankengut, welches wir mit dem Tatbeweis unserer Projekte unter¬mauern, verdient es, in der Öffentlichkeit gewürdigt zu werden. Ich rufe Sie deshalb dazu auf, Ihre Clubprojekte bekannt zu machen, und so das positive Bild von Rotary in unserer Gesellschaft weiter zu verbreiten.


Ihre DG Doris Portmann




Chère rotarienne, cher rotarien,

Vous ne ménagez pas votre peine et vous gérez beaucoup d’argent tous les ans au nom du Rotary pour faire avancer des projets d’entraide en Suisse et à l’étranger. Nous, les Rotariennes et Rotariens, n’ignorons pas ces prestations; et nous en sommes souvent informés par la Revue du Rotary.

Mais la population se montre-t-elle aussi positive envers ces actions ? Je me permets d’exprimer un doute sur la base de trois nouvelles lues dernièrement dans le journal. 1er exemple : au cœur du Stade de Suisse (Berne), un club de bienfaiteurs s’est formé dont la cotisation se monte à 25 000 francs par membre et par an. Le journaliste sportif et le premier président du club interviewé ont trouvé que c’était un « Club Rotary du sport ». 2ème exemple: Un leader de l’économie suisse interviewé a déclaré que son réseau de relations se composait de son « Stammtisch de jass », de son club de bowling et de son club rotarien. Et enfin, les « magouilles » du RC Zurich sont décrites en long et en large dans un autre article. A mon avis, tout ceci reflète une image déformée de notre organisation.

Nous aurions beaucoup à dire sur nos projets réguliers, nos programmes d’échange et nos activités d’entraide sur le plan international. La Journée de la poliomyélite du 13 septembre 2008 est un exemple concret de ce grand engagement. Non seulement les rotariens de toute la Suisse ont donné le meilleur d’eux-mêmes, mais le grand public en a été informé par de nombreux articles dans la presse suisse. Un tel exemple peut être repris aussi bien au niveau cantonal que régional et donc aussi par les clubs.

De nombreux médias sont friands d’informations locales et les publient. Bien des rotariens ont des contacts suivis avec des rédacteurs des rubriques locales et peuvent donc les informer de nos activités. Bien sûr, certaines nouvelles ne seront pas publiées. Il en est de même pour la politique et l’économie. Cependant, une information non transmise, ne le sera en aucun cas.

Cela peut valoir la peine de se faire conseiller par un spécialiste de l’information de son propre club ou de la famille rotarienne. Lisez donc l’article du rotarien Oliver Schaffner (rédacteur en chef de notre magazine) publié en septembre 2008 (www.rotary.ch). D’autres tuyaux et des informations sur l’importance des relations publiques nous montrent ce que les clubs peuvent entreprendre dans ce domaine.

Notre idéal rotarien cimenté par des projets concrets mérite d’être porté à la connaissance du grand public. Je vous prie de les faire connaître et par ricochet, faire refléter une image positive du Rotary dans notre société.

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